dimanche 29 juillet 2012

Santiago, un accueil latino comme on les aime !


Nous quittons Sydney sous un temps maussade…


Notre arrivée se réduira à une quête de bancs ensoleillés dans le centre de Santiago en attendant de retrouver César, un CS équatorien chez qui nous resterons 4 nuits. Nous parvenons sans difficulté à sombrer sur les bancs publics…

Nous profitons de la journée suivante pour grimper sur l’une des nombreuses collines qui parsèment la ville et admirer… Le nuage jaune de pollution qui efface les buildings et ne laisse ressortir au loin que la neige des hautes montagnes. 


Nous parcourons ensuite la ville à la recherche de « Pain-Vin-Fromage » pour redécouvrir ce petit plaisir nocturne disparu depuis 5 mois ½ et qui semble faire partie de la culture chilienne pour notre plus grand bonheur !



Le lendemain, petite coupe chilienne pour se rafraichir avant de prendre la route vers Valparaiso avec notre guide César. 


Après un déjeuner au marché accompagné d’un Pisco Sour, il nous fera découvrir l’un des plus gros ports du pays avant de rejoindre les hauteurs de la ville à travers les petites ruelles de maisons colorées, de galeries d’art, de restaurants et bars. Valparaiso est une sorte de Montmartre au bord du pacifique, ses ruelles escarpées nous rappelle le quartier où nous avions l'habitude de flâner le week-end avant cette aventure. Le plus impressionnant reste le panorama nocturne où des milliers de lumières dessinent les collines de la ville.


Le jour suivant, nous nous baladons dans les villes balnéaires environnantes...


…avant de finir par une marche dans le barrio Quinta Normal, un quartier à l’ouest de Santiago pour clôturer notre séjour. Ces quatre jours Chiliens nous donnent un avant-goût bien sympathique sur la suite de notre parcours. 



Nous décollons le dimanche à l’aube pour une halte péruvienne. Cette courte journée est l'occasion d'apercevoir les plaisirs culinaires de ce pays que nous aurons la joie de retrouver dans un mois. En attendant c’est avec beaucoup d’excitation que nous décollons lundi matin en direction de La Havane où nous allons enfin retrouver une partie d’entre vous autour des fameux mojitos ;)

Plus de photos du Chili ici.

mercredi 25 juillet 2012

Portrait d'une génération volée

De l'autre côté du globe, nous ne savons que très peu de chose sur le peuple aborigène. 

Arrivés en Australie, les discours les concernant sont parfois tranchant, les anecdotes de violence au fur et à mesure que l'on se rapproche du Nothern Territory se multiplient. A Katerine et Alice Springs, la perdition peut se lire dans leurs yeux et le taux d'alcoolémie dans leurs sangs...
Comment ce peuple avec tant de croyance a-t-il pu en arriver là sur son propre territoire ?


A la fin du 18ème siècle, on en dénombrait près d'1 million. L'arrivée des Européens a divisé ce chiffre, atteints par les maladies importées auxquelles ils n'ont pas survécu, les famines ou encore chassés de leurs terres...


C'est avec stupeur que nous découvrons que les australiens avaient le droit de mort sur ce peuple jusqu'en 1967. A cette date, ils sont enfin reconnus citoyens australiens, même s'il faudra attendre pour leurs restituer le contrôle d'une partie des terres telles que Kakadu National Park ou Uluru National Park



De 1910 à 1970, plus troublant encore, près de 100.000 enfants indigènes sont enlevés de leur famille sur ordre du gouvernement afin de leurs inculquer, soit disant, le fonctionnement des colonisateurs pour devenir un "bon australien" : pratique de l'anglais obligatoire, intégration dans les familles blanches, travail voire esclavage... Les traitements évoluant en fonction de l'intensité de la couleur de peau. Un véritable lavage de cerveau pour cette génération volée !

Le rapport "Bringing them home" de 1997 met en exergue un grand nombre de maltraitance effectuée sur ces enfants ayant des conséquences aujourd'hui dramatiques : perte d'identité, obésité, suicide, troubles psychologiques ou encore alcoolisme et drogue. A titre d'exemple, leur espérance de vie est de 20 ans inférieure à celle des blancs.

Le 26 mai 1998, la journée national australienne "Sorry Day" est créé afin de débuter le processus de cicatrisation mais il faudra attendre février 2008 pour que les gouvernements s'excusent au nom du peuple australien pour les crimes commis.

Nous n'imaginions pas un passé récent si cruel... Alors, avant de parler du côté obscur des aborigènes, il faut essayer d'imaginer dans quel état de détresse seriez vous si l'on venait à vous voler ce que vous aviez de plus cher au monde ?


Plus de photos de l'Australie ici.

mercredi 18 juillet 2012

Un caillou pas comme les autres


Nous quittons Darwin à midi pour rejoindre le cœur de l’Australie, Alice Spring. Pour y arriver, il nous faudra plus de 20h de bus afin de relier le nord du Nothern Territory au sud, soit 1464 km… Pas mal pour traverser une région ;)

Habitués, nous ne sentons même pas cette journée passée et profitons ensuite d’un Day Off  avant de poursuivre notre parcours vers Uluru National Park. Un regret pour Céline qui n’avait pas pu le visiter 7 ans auparavant, une découverte mythique pour Fabien. Une fois de plus, difficile d’organiser cette excursion en solitaire  sans dépenser un budget astronomique… Australie quand tu nous tiens... Nous optons pour l’une des plus réputées en Oz « The Rock Tour » : 3 jours intensifs pour repartir avec des images plein la tête du centre de l’Australie, découvert il y a moins de 150 ans.

6h15, notre guide nous attend ainsi que 15 autres compagnons de route, en direction de l’Ayers Rock, un « petit caillou » rouge au milieu de nulle part. Une petite pause pour aller chercher le bois pour le feu du soir. N’ayant pas encore compris l’enjeu de ce petit jeu, nous ne sommes pas réellement efficaces… Nous le payerons quelques heures plus tard !


Une petite balade autour de ce caillou sacré pour percevoir son ampleur et rester estomaqués par le manque de respect de certains qui continuent de grimper ce rocher pas comme les autres malgré…

  • La dangerosité du lieu avec la mort, sur le coup, de plus de 35 personnes pendant cette escalade
  • Le peu de panorama, à priori, visible depuis le top…
  • Le fait qu’il s’agit pour le peuple originaire du lieu, les aborigènes, d’un bâtiment sacré comme pourrait être nous une église, une mosquée ou encore un temple. Qui aurait l’idée d’escalader la basilique de Montmartre pour avoir la plus belle vue sur Paris ? Et si jamais cet éberlué parvenait à le faire, n’y aurait-il pas des conséquences ? Une injustice subie par ce peuple qui lui-même paye les conséquences en se punissant au cours de cérémonie à l’occasion de chaque décès accidentel.  


L’Ayers Rock, c’est aussi l’iceberg réchauffé d’Australie avec ses 348 mètres visibles et ses 6 à 7 km sous la terre qui en fait l’un des plus gros cailloux au monde. A la base gris, les pluies et l’érosion lui ont donné cette couleur feu de carte postale.  Nous rejoignons ensuite un point de vue pour admirer le coucher du soleil sur ce « monument ». 


Nous arrivons au camping où nos swags nous attendent. Pour vous qui vous demandez ce qu’est un swag, c’est une tente unipersonnelle améliorée ! En gros, un sac contenant un matelas à poser à même le sol et dans lequel vous rajoutez votre sac de couchage. La meilleure solution pour admirer les ciels étoilés qui restent pour nous les plus beaux rencontrés jusqu’à ce jour et moins sentir les températures extrêmes du lieu. 


En effet, si la journée le soleil nous réchauffe la peau en pouvant aller jusqu’à 26°, la nuit la descente est infernale… En dessous de 0°. Et c’est à ce moment-là que nous réalisons que notre quantité de bois ne nous fera pas toute la nuit et que c’est presque avec un cri de libération que nous accueillons le réveil à 6h. 
20 minutes pour quitter le camping afin de reprendre la position de la veille mais cette fois-ci pour admirer, à 7h31 exactement, le lever du soleil, la lune toujours présente et ses nuages rouges surréalistes.


Départ ensuite en direction de Kata Tjuta à 32km de l’Ayers Rock où une balade de 3h dans la magie des 36 dômes aux versants escarpés nous attend. 


C’est ici que nous apprendrons que ces gros cailloux ne sont que le résultat de la tectonique des plaques et qu’ils constituaient il y’a quelques 400 millions d'années la plus grosse montagne avant de s’éparpiller sur le désert australien…

Comme la veille, une  de nos missions du jour consiste à collecter du bois. Conscients des conséquences de cette étape sur notre sommeil, nous performons ! La clé de la réussite serait donc de confronter l’être humain aux conséquences de ses échecs. En tout cas, cette théorie a fonctionné à merveille sur notre groupe et nous avions encore du stock au petit matin ;) 

Dernière journée et comme le dicton l’indique, nous avions gardé le meilleur pour la fin : Le King’s Canyon ! Nous démarrons notre randonnée avec les étoiles et le froid pour la finir au soleil brulant le long d’un canyon à la pierre ocre. 


Nous apprenons que l’Australie a connu des vagues de pluies ces dernières années et que ce paysage anciennement désertique a évolué vers plus de verdure jusqu’à y trouver quelques palmiers. L’Australie possède encore bien des surprises et le voyageur d’il y a 20 ans resterait interloqué en revenant sur cette terre aujourd’hui…

Plus de photos sur l'Australie ici.


samedi 14 juillet 2012

Mais ils sont où les crocodiles ?

Notre vol depuis Cairns nous emmène à Darwin, terre réputée pour ses National Park, sa terre rouge et ses crocodiles... Nous poursuivons nos expériences CouchSurfing dès notre arrivée à Darwin où Mara (la maman de notre Hôte Amanda), nous attend à l'aéroport. Un vrai accueil de CS ;)

Nous y restons quelques jours, le temps de découvrir Darwin qui se compose principalement de quelques rues, d'une esplanade le long de la mer, d'un jardin botanique (typique des villes australiennes visitées jusqu'à présent)...


...et de plages où l'eau translucide nous fait des clins d'oeil mais les panneaux "Attention crocodiles" ne cessent de nous rappeler à l'ordre. 


Avec les chaleurs de mi-journée, la tentation est forte mais nous résistons car ces petites bêtes peuvent atteindre jusqu'à 7 mètres et il est bien rare de pouvoir les voir avant le drame...


Nous découvrons également le marché nocturne de Mindil Beach, tant prisé des australiens, où nous retrouvons tous les stands de cuisine des pays visités précédemment pour quelques 8-10 dollars. Il y a quelques semaines, nous les payions le quart du prix... Trop peu pour nous, nous rentrons "cuisiner" des pâtes aux oeufs à la mode étudiante.

Nous partons ensuite en vadrouille à 9 pour le week-end end au Lichfield National Park avec Amanda et d'autres CS. De quoi goûter aux joies du camping au milieu d'un National Park Australien ! Et accessoirement un bon entrainement avant nos prochaines missions. Deux jours pour en prendre plein les yeux entre les étendues de terre appartenant dorénavant aux termites...


...Et les cascades toutes plus belles les unes que les autres... Merci Amanda d'avoir partagé avec nous tes petits coins de paradis prénommés Surprise Creek falls (à deux pas de notre campement) ou encore Tjaynera Falls.


A l'aube le lundi matin, c'est à notre tour de gérer le départ pour quatre jours de camping ; mais cette fois-ci dans le Kakadu National Park, la raison première de notre venue à Darwin. A l'arrivée chez Wicked (notre loueur), la chance est avec nous puisque nous partons avec un 4x4 pour le prix du van prévu. Bien plus de possibilité pour l'itinéraire mais bien moins de place pour vivre... Car ce véhicule sera notre maison pour quatre jours, cuisine et chambre intégrées... Difficile à imaginer quand on l’aperçoit ! Nous prenons donc la route vers le Kakadu avec un arrêt à Fogg Dam, le temps de se dégourdir les jambes et de tester notre jardin d'été !


Après 133 km, nous entrons dans le fameux parc où nous attend un charmant mais costaud Wallaby pour traverser la route... D'une main de maître Fabien gérera un parfait déhanché qui lui laissera la vie sauve ! Nous arrivons pour le coucher du soleil à Ubir où le panorama nous laisse sans voix : billabongs, envolés d'oiseaux, roche rouge/rose/orange... De quoi bien clôturer la journée. 


Enfin, c'est ce que l'on pensait avant de rejoindre notre camping à quelques kilomètres où les moustiques se sont préparés à un plan d'attaque et aucune de nos armes n'est asez puissante pour les faire perdre du terrain. Ce qui marchait en Asie : pantalons imbibés d'Insect Ecran, lotion Insect Ecran et serpentin Baygon... N'a aucun impact sur les mozzies Australiens ! Nous capitulons, raccourcissons notre repas (pourtant fort bon à base de steak de Kangourous), installons en vitesse notre lit avec toit panoramique où il fait une chaleur torride mais où il est impossible d'ouvrir les fenêtres. Nous tuons les quelques moustiques à notre portée et laissons aux autres le loisir de se faire un bain de sang... Au réveil, notre corps en garde des traces et nous faisons fissa pour replier le camp et rejoindre le secteur de Nourlangie où nous parcourons l'Anbangbang billabong à la recherche de crocodiles... Nous ne trouverons qu'un énorme sanglier et des centaines d'oiseaux. 


Une petite montée au lookout de Nawurlandja pour se sentir si petit dans cette immensité..


Ebahis par ce lookout, nous ne résistons pas au suivant "Mirrai" qui n'avait pour le coup qu'un intérêt très limité excepté le fait d'entendre les crépitements des flammes des brûlis et de voir les rangers nous informant de l'avancée des flammes...

Nous prenons la route pour Yellow Water, zone où les crocodiles sont à priori bien présents. Mais notre nouvelle quête autour des billabongs de Yellow Water ne nous apportera pas la joie d'en découvrir un. Nous rejoignons notre camping suffisamment tôt, ayant appris de l'expérience passée, pour être en position sommeil dès le soleil couché. Cela ne nous empêchera malheureusement pas d'avoir quelques compagnons de chambre mais dans une moindre mesure.

Petit déjeuner au bord de Jim Jim Billabong avant de parcourir la Gun Garden Walk où nous avons la joie d’apercevoir une dizaine de Wallaby qui passent difficilement inaperçus vu le bruit qu'ils font en sautant sur les herbes séchées. Un vrai bonheur de les laisser nous surprendre de chaque côté en tentant de prendre des clichés pour la plupart loupés. 


Nous reprenons ensuite la route pour rejoindre Gunlom, qu'il faudra mériter avec ses 30 kms de pistes que nous n'aurions pas pu réaliser avec le van initialement prévu. Ici, une piscine naturelle nous attend et il ne nous faudra que quelques minutes pour goûter à sa fraîcheur et admirer sa beauté !


La soirée sera bien plus agréable que les précédentes, peu de moustique et une fraîcheur qui nous permettent d'apprécier le ciel dégagé visible depuis notre lit. Une dernière balade sur ce lieu au petit matin en grimpant jusqu'aux bassins naturels alimentant la piscine de la veille... Une merveille !

Pendant ces quatre jours, nous en aurons pris plein la vue et même si nous n'avons pas trouvé les crocodiles, nous savons pourquoi nous sommes venus jusqu'ici...

Plus de photos de l'Australie ici.



dimanche 8 juillet 2012

Mais ils sont où les kangourous ?


Après une nuit un peu courte et mouvementée, nous arrivons au petit matin sous le soleil au pays des kangourous à l'aéroport de Gold Coast. Nous apprécions tout particulièrement redécouvrir les ciels dégagés loin de la pollution chinoise, des fumées des brûlis laotiens ou encore des ciels de début de mousson vietnamiens...


Après un trajet en train, nous arpentons les rues de Brisbane entre les églises, les bâtiments modernes et définissons le programme des quinze prochains jours... Qui nous coûteront autant que nos sept semaines Vietnam/Laos/Cambodge... Retour à la réalité !


Brisbane sera aussi l'occasion de tester les joies du CS (CouchSurfing) chez Asser, un Australo-Egyptien, déjà rencontré autour d'un thé au citron à Hanoi. Nous passons deux nuits chez lui et partageons une glace nocturne depuis la colline qui offre la plus belle vue sur la ville... L'occasion de vérifier que la glace, ça réchauffe ;) !


Au petit matin, il est l'heure de prendre le bus vers le nord, destination Rainbow Beach, où nous passerons une journée fraîche à quelques pas de la plage aux 72 couleurs. 


C'est le moment de goûter pour la première fois depuis plus de quatre mois la proximité des dortoirs ! 


Pour nous, Rainbow, c'est surtout le lieu de départ vers Fraser Island, notre première excursion, une redécouverte pour Céline qui en avait tant parlé à Fabien... 


Erreur... Car trois jours de 4x4 et camping sous la pluie, réveillés par les grognements de Dingos, ça altère un peu l'aspect paradisiaque du lieu... 


En tout cas, on espère que pendant nos cinq jours pluvieux Australiens (à priori complètement inhabituels), vous aurez profité d'un peu de soleil de l'autre côté du globe !


Escale suivante : Bundaberg. Les jeunes voyageurs ne comprennent pas toujours la raison de notre choix. Après 24h avec Gema (notre second CS) et sa famille, nous sommes convaincus de l'intérêt de cette escale. Pas de petit déjeuner Australien sans miel, nous partons donc à la recherche du producteur locale de miel de théier (un délice!!) avec qui nous passerons la fin de la matinée. 

Ayant repris des forces, nous continuons la découverte des exploitations de la ville : champs de canne à sucre, producteurs de tomates ou encore de fraises... 


Tout pousse à Bundaberg , ville réputée pour son rhum et sa bière au gingembre sans alcool. Après un bon repas franco-Australien, soupe de patate douce à l'orange puis crèpe "fraise-crème fraiche", nous reprenons la route avec le bus de nuit qui nous emmène à Airlie Beach, porte des Whitsundays. 

C'est ici que nous retrouvons avec joie le soleil, d'autant plus attendu que trois jours de voiliers nous attendent le lendemain à bord d'Apollo. Le vent ne nous permettra pas de sortir les voiles mais nous en prendrons plein les yeux : rencontre imprévue avec les dauphins et les raies manta...


... Sieste sur la plage au sable le plus blanc du monde "Whitheaven Beach"...


... Snorkelling sur différents récifs où la richesse coralienne est à couper le souffle et les tortues vivent paisiblement... 


La mer aura été tellement calme que nous n'aurons pas sentis les nuits passées. Les nuits étoilées et les réveils avec le lever du soleil au milieu des Whitsundays nous laisseront un souvenir magique...

Une nouvelle nuit dans le bus et nous voilà arrivés à l'aube à Cairns où une nouvelle journée sur un voilier nous attend, mais cette fois-ci le vent est avec nous afin de sortir les voiles jusqu'à Green Island. 


Nous ferons l'une de nos plus belles plongées à quelques centaines de mètres de cette île, accompagnée d'un guide qui saura nous faire partager sa passion et dépasser l'aspect de la beauté visuelle en intégrant le sens du "toucher" sur la faune accessible. Il est difficile pour nous de partager cette nouvelle sensation mais nous garantissons des surprises incroyables sur les coraux mous et les concombres de mer... 


Ça sera également notre première rencontre avec les requins des récifs... 


Cette journée clôture en beauté nos quinze jours au Queensland où la diversité de la faune était au rendez-vous, mais il faudra encore attendre pour saluer les kangourous...


Plus de photos sur l'Australie ici.